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L'USTM FAIT PEAU NEUVE

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Les travaux de réhabilitation de l’Université des sciences et technique de Masuku arrivent à leur fin. C’est ce qui en ressort de la visite du Pr Hervé Ndoume Essingone sur le site de ladite université.

Confiés à l’entreprise Mika Service, les travaux de réhabilitation de l’Université des sciences et technique de Masuku dans le Sud-Est du Gabon arrivent bientôt à leur terme. Un chantier lancé par le Président Brice Clotaire Oligui Nguema il y a quelque mois.

La livraison étant prévu pour fin avril, il en ressort que certains blocs sont déjà prêts à l’usage, à savoir, l’Insab, le département de chimie et ceux abritant les activités pédagogiques.

Le soulagement va se lire sur les visages

Créée en 1986, l’USTM a formé plusieurs cadres de la République. Ce temple du savoir scientifique gabonais est tombé dans un état de délabrement, entre inondations et murs fissurés, ne permettant plus aux étudiants d’y suivre leurs enseignements de façon sereine. Cette face lugubre de l’Université de Masuku, revêt de nouveaux revêtements suite à une décision du président Brice Clotaire Oligui Ngema. Des travaux qui mettent du baume aux cœurs des étudiants qui pourront dans les toutes prochaines semaines réinvestir les salles de cours et de travaux pratiques.

Un nouveau visage qui va rebouster le moral de certains qui avaient perdu tout espoir d'apprendre dans de bonnes conditions car, le cadre est aussi important pour l'apprentissage. Pour les étudiants désireux résider sur le campus, le pavillon est déjà prêt à accueillir les filles.

Selon le Pr Bill Raphaël Bikanga, recteur de l’USTM :

Jusqu’à présent, 83% des travaux sont déjà effectués.

 

Étant dans la province du Haut-Ogooué pour une séance de travail, le Pr Hervé Ndoume Essingone, ministre de l’Enseignement supérieur s’est rendu sur le campus de l'USTM pour s’imprégner de l’avancement des travaux. L’heure est donc aux derniers coups de pelles et de peintures pour peaufiner les derniers réglages en attendant le coup de sifflet pour la réouverture.

 

Par isy NYANGUI

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